“Architectures extrêmes, entre high-tech et low-tech”
Par Catherine Rannou
Artiste, architecte DPLG et Professeure en école d’architecture (ENSAB, ENSAPVS) membre du centre de recherche sur l’habitat CRH, Catherine
Rannou collabore régulièrement avec des équipes de scientifiques, d’artistes, d’architectes et d’habitants travaillant autour des questions environnementales et sociales. Ses œuvres prennent la forme d’installations multimédia qu’elle expose depuis les années 2000. Dans le cadre du programme « Villa Médicis hors les murs » effectué en Antarctique en 2008, elle s’intéresse aux édifices mais aussi aux déplacements et flux sur un
territoire peu arpenté comme les stations antarctiques Dumont d’Urville et Concordia. Elle y retourne dix ans plus tard accompagnée d’une équipe
d’architectes et d’ingénieurs dans le cadre d’une mission de diagnostic architectural commandité par l’Institut polaire français.
La station polaire française Dumont d’Urville est implantée à proximité de manchôtières. Des édifices de la station ont été dessinés au début des
années 60 par l’ingénieur Vladimir Bodiansky. Elle a fait l’objet d’un relevé réalisé en 2019/2020 par des architectes, artistes, chercheurs et enseignants en architecture, en vue de sa rénovation et transformation.
L’ambition du projet de transformation de la station Dumont d’Urville, est de rendre l’activité de cette station pour la recherche scientifique en
antarctique, entièrement décarbonée à l’horizon 2050. Ce travail exposé partiellement à la MAEB de Bretagne, questionne le rôle des architectes
en territoires extrêmes et contraints. Les images des projets présentés ont une valeur prospective et restent en attente des décisions d’investissements futurs de l’Etat Français en Antarctique.
Jérôme Guénéau, architecte et maître de conférence à l’ENSAM et Tom GRAY T/E/S/S atelier d’ingénierie participeront à la conférence.
Dumont d’Urville est la station historique française ouverte en 1956. L’Institut polaire français( IPF-Brest) y assure la gestion fonctionnelle et la conduite des projets scientifiques.
L’île des Pétrels, sur laquelle elle fut construite, se situe sur la côte de la terre Adélie, un territoire en Antarctique administré par les Terres australes et antarctiques françaises (TAAF –
Saint-Pierre de La Réunion).
Rannou collabore régulièrement avec des équipes de scientifiques, d’artistes, d’architectes et d’habitants travaillant autour des questions environnementales et sociales. Ses œuvres prennent la forme d’installations multimédia qu’elle expose depuis les années 2000. Dans le cadre du programme « Villa Médicis hors les murs » effectué en Antarctique en 2008, elle s’intéresse aux édifices mais aussi aux déplacements et flux sur un
territoire peu arpenté comme les stations antarctiques Dumont d’Urville et Concordia. Elle y retourne dix ans plus tard accompagnée d’une équipe
d’architectes et d’ingénieurs dans le cadre d’une mission de diagnostic architectural commandité par l’Institut polaire français.
La station polaire française Dumont d’Urville est implantée à proximité de manchôtières. Des édifices de la station ont été dessinés au début des
années 60 par l’ingénieur Vladimir Bodiansky. Elle a fait l’objet d’un relevé réalisé en 2019/2020 par des architectes, artistes, chercheurs et enseignants en architecture, en vue de sa rénovation et transformation.
L’ambition du projet de transformation de la station Dumont d’Urville, est de rendre l’activité de cette station pour la recherche scientifique en
antarctique, entièrement décarbonée à l’horizon 2050. Ce travail exposé partiellement à la MAEB de Bretagne, questionne le rôle des architectes
en territoires extrêmes et contraints. Les images des projets présentés ont une valeur prospective et restent en attente des décisions d’investissements futurs de l’Etat Français en Antarctique.
Jérôme Guénéau, architecte et maître de conférence à l’ENSAM et Tom GRAY T/E/S/S atelier d’ingénierie participeront à la conférence.
Dumont d’Urville est la station historique française ouverte en 1956. L’Institut polaire français( IPF-Brest) y assure la gestion fonctionnelle et la conduite des projets scientifiques.
L’île des Pétrels, sur laquelle elle fut construite, se situe sur la côte de la terre Adélie, un territoire en Antarctique administré par les Terres australes et antarctiques françaises (TAAF –
Saint-Pierre de La Réunion).
Catherine Rannou artiste, architecte DPLG et Professeure en école d’architecture (ENSAB, ENSAPVS) membre du centre de recherche sur l’habitat CRH. Jérôme Guénéau, architecte et maître de conférence à l’ENSAM. Tom GRAY T/E/S/S atelier d’ingénierie participeront à la conférence.
>> Jeudi 25 novembre, à 18h30, en salle de conférences.
En partenariat avec la MAeB et la MSHB.